Assise à son bureau, Jacobi consulte un cahier et tape sur un ordinateur portable. Jacobi regarde un écran d’ordinateur portable et réfléchit à ce qu’elle doit faire.

Étude de cas 5

Par curiosité

Jacobi occupe son poste depuis neuf ans. C’est une employée modèle très assidue qui obtient d’excellentes appréciations. Jacobi souhaite devenir superviseure depuis trois ans, mais chaque fois qu’une opportunité se présente, elle n’est pas retenue pour le poste.

Jacobi pense qu’elle ne parvient pas à décrocher un poste de superviseure à cause d’une discrimination fondée sur l’identité de genre. En effet, lors du dernier entretien que Jacobi a passé pour un poste vacant de superviseure, le responsable lui a demandé si elle revendiquait toujours le statut de non-binaire.

Lorsque Jacobi lui a demandé ce que cela avait à voir avec ses compétences de supervision, le responsable lui a répondu qu’il posait cette question par simple curiosité et que sa réponse n’avait aucune importance.

Cela devrait-il être signalé ?

La bonne réponse est Oui.

La bonne réponse est Oui.

Cet incident doit être signalé immédiatement. Interroger un(e) candidat(e) sur son identité de genre, son orientation sexuelle, sa situation de famille ou son état matrimonial, même par curiosité, est inapproprié et illégal. En général, les questions des entretiens d’embauche et de promotion doivent porter sur la capacité du/de la candidat(e) à effectuer le travail et/ou sur ses performances.